Mais, après tout, rien n’est vrai qui force à exclure. La beauté isolée finit par grimacer, la justi Camus Albert

Mais, après tout, rien n’est vrai qui force à exclure. La beauté isolée finit par grimacer, la justice solitaire finit par opprimer. Qui veut servir l’une à l’exclusion de l’autre ne sert personne ni lui-même, et, finalement, sert deux fois l’injustice.
L’Eté (1954), Retour à Tipasa
Citations de Albert Camus
Albert Camus

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