A attendre, attendre et attendre, les pensées tournaient, tournaient dans votre tête, jusqu’à ce que Zweig Stefan

A attendre, attendre et attendre, les pensées tournaient, tournaient dans votre tête, jusqu’à ce que les tempes vous fassent mal. Il n’arrivait toujours rien. On restait seul. Seul. Seul.
Le joueur d’échecs (1943)
Citations de Stefan Zweig
Stefan Zweig

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