« Ibis redibis non morieris in bello », disait la Sibylle au soldat qui allait partir pour la guerre Camilleri Andrea

« Ibis redibis non morieris in bello », disait la Sibylle au soldat qui allait partir pour la guerre. Et bien le bonjour chez toi. Mais il était nécessaire de mettre une virgule avant ou après ce « non » pour que le soldat sache s’il allait laisser sa peau dans la bataille ou s’il s’en tirerait. Et dire l’emplacement de la virgule, c’était le travail des prêtres qui donnaient leur interprétation suivant l’importance du don.
La première enquête de Montalbano (2004)
Citations de Andrea Camilleri
Andrea Camilleri

À lire aussi  Pour mieux se tenir la main, - Amoureux se tiennent les yeux. Leusse Charles de