Une féministe enragée interrompit, un jour, Winston Churchill au beau milieu d’un discours et lui la Piat Jean

Une féministe enragée interrompit, un jour, Winston Churchill au beau milieu d’un discours et lui lança :

– Si j’étais votre épouse, je mettrais du poison dans votre thé.

Riposte instantanée de Churchill :

– Et bien moi, madame, si j’étais votre mari, je le boirais !
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Citations de Jean Piat
Jean Piat

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