Mais nulle d’entre vous ne hante plus ces rives,
Et si je viens errer sous leurs aulnes tremblants,
C’est pour n’y rencontrer que cette ombre furtive
Qui me ressemblerait, n’étaient mes cheveux blancs.
Les Jours raccourcissent : Poésies (1954)
Citations de Emile Henriot
Emile Henriot