Les jeux de rôle constituent un excellent apprentissage pour le récit romanesque, parce qu’ils matérialisent la confusion entre l’auteur et le lecteur.
On pourrait dire que toute relation entre l’auteur et le lecteur reproduit l’esprit du jeu de rôle. Le but est de faire croire au lecteur à sa participation dans le récit. Et l’idée de comparer l’écriture et la lecture à un jeu me parle beaucoup. Fait-on autre chose que jouer quand on lit et quand on écrit ?
Le complexe de Shéhérazade
Citations de Joann Sfar
Joann Sfar