Sous le fardeau de ta paresse – Ta tête d’enfant – Se balance avec la mollesse – D’un jeune éléph Baudelaire Charles

Sous le fardeau de ta paresse
Ta tête d’enfant
Se balance avec la mollesse
D’un jeune éléphant,
Et ton corps se penche et s’allonge
Comme un fin vaisseau
Qui roule bord sur bord et plonge
Ses vergues dans l’eau.
Les Fleurs du Mal (1857), XXVIII – Le serpent qui danse
Citations de Charles Baudelaire
Charles Baudelaire