Pour les jeunes, l’éducation, la surveillance, sont à la base de tout. Hélas, on procède à l’envers. C’est un peu comme les parents qui bien souvent ne s’occupent de leurs enfants qu’à partir de leur majorité.
Miroir du Cyclisme, 1967, n° 92, octobre, pp 12-13
Citations de Raymond Poulidor
Raymond Poulidor