« Si l’abeille venait à disparaître, l’homme n’aurait plus que quelques années à vivre. » C’est l’un Reeves Hubert

« Si l’abeille venait à disparaître, l’homme n’aurait plus que quelques années à vivre. » C’est l’une des versions de la phrase attribuée à Albert Einstein. Voici un aperçu de ce que l’on trouve sur Internet :
« L’espèce humaine ne survivra que quelques années à la disparition des abeilles.
« Si l’abeille venait à disparaître de la surface du globe, l’homme n’aurait plus que 5 années à vivre.
« Si l’abeille disparaissait de la surface du globe, l’homme n’aurait plus que 4 années à vivre.
« Sans abeilles, en quatre ans, plus d’herbe, plus de fruits, plus d’hommes sur la Terre. »

On pourrait sans doute trouver d’autres versions, « traductions » d’une phrase en anglais, si diverses que l’on en est venu à douter de l’authenticité de la citation. Et toutes les recherches entreprises n’ont jamais abouti. Impossible de trouver dans les écrits d’Einstein la preuve recherchée. Mais qu’importe : la phrase, quelle que soit la version, véhicule un message important : Le sort de l’humanité est lié à celui des pollinisateurs. Et ce sont surtout des insectes, dont les abeilles.
Chronique Environnement Planète verte , 2 mars 2008
Citations de Hubert Reeves
Hubert Reeves