Lamartine a la note magnifique, mais rarement la note émue ; celle-là, c’est le coeur qui la donne. Or, Lamartine n’a guère aimé. Les femmes n’ont été pour lui que des miroirs où il s’est regardé ; il s’y est même trouvé très beau.
Pensées d’une solitaire (1903)
Citations de Louise Ackermann
Louise Ackermann