L’homme aime tant l’homme que, quand il fuit la ville, c’est encore pour chercher la foule, c’est-à- Baudelaire Charles

L’homme aime tant l’homme que, quand il fuit la ville, c’est encore pour chercher la foule, c’est-à-dire pour refaire la ville à la campagne.
Journaux intimes (1887), Mon coeur mis à nu
Citations de Charles Baudelaire
Charles Baudelaire

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