Si l’on confiait ton corps au premier venu, tu t’en irriterais ; mais confier ta pensée au premier v Epictète

Si l’on confiait ton corps au premier venu, tu t’en irriterais ; mais confier ta pensée au premier venu que tu rencontres, pour, s’il t’injurie, qu’elle en soit troublée et confondue, tu n’en reçois pas de honte ?
Manuel
Citations de Epictète
Epictète

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