C’est si agréable de comparer les femmes aux fleurs.
Une d’elles qui se dévêt au crépuscule, Toulet Paul-Jean

C’est si agréable de comparer les femmes aux fleurs.

Une d’elles qui se dévêt au crépuscule, sous les yeux de son ami, tandis qu’à travers les volets tinte l’Angélus d’un soir de province ; elle se hâte, et, de cogner aux meubles ses genoux, parfois s’écrie ; elle effeuille son linge de-ci de-là ; elle jonche le parquet de pétales. On dirait un lys dispersé.
Le carnet de monsieur du Paur, homme public
Citations de Paul-Jean Toulet
Paul-Jean Toulet