La France, ah ! puisse-t-elle, aux époques lointaines,
Croître en s’affermissant, comme croissent les chênes,
Offrir l’abri superbe et l’ombre de son front.
Nation maternelle, aux peuples qui naîtront
Afin qu’on dise, un jour, selon mon espérance :
Tout homme a deux pays : le sien et puis la France
La fille de Roland (1875), III, 2
Citations de Henri de Bornier
Henri de Bornier