Ton corps est abattu du mal de ta pensée;
Tu sens ton front peser et tes genoux fléchir.
Tombe, agenouille-toi, créature insensée:
Ton âme est immortelle, et la mort va venir.
Poésies nouvelles (1836-1852), Lettre à M. de Lamartine
Citations de Alfred de Musset
Alfred de Musset