Si d’un vent elle entend quelque sifflante haleine, – Par le feuillage épais des chênes se ployant, Baïf Jean Antoine de

Si d’un vent elle entend quelque sifflante haleine, – Par le feuillage épais des chênes se ployant, – Qu’il lui semble écouter les soupirs de ma peine.
Les Amours de Francine
Citations de Jean Antoine de Baïf
Jean Antoine de Baïf