Ses cheveux, appesantis par la chaleur, croulaient lourdement sur sa nuque dorée, et elle était bell Barbey d’Aurevilly Jules Amédée

Ses cheveux, appesantis par la chaleur, croulaient lourdement sur sa nuque dorée, et elle était belle ainsi, déchevelée, négligée, languissante à tenter Satan et à venger Eve!
Les Diaboliques (1874), A un dîner d’athées
Citations de Jules Amédée Barbey d’Aurevilly
Jules Amédée Barbey d’Aurevilly