Quant à moy, je n’aurois jamais le cueur de vendre le boeuf qui auroit longuement labouré ma terre. Amyot Jacques

Quant à moy, je n’aurois jamais le cueur de vendre le boeuf qui auroit longuement labouré ma terre.
Caton, 41
Citations de Jacques Amyot
Jacques Amyot