Plus on diminue le nombre des principes d’une science, plus on leur donne d’étendue, puisque, l’objet d’une science étant nécessairement déterminé, les principes appliqués à cet objet seront d’autant plus féconds qu’ils seront en plus petit nombre.
Discours préliminaire à l’Encyclopédie (1751)
Citations de Jean le Rond d’Alembert
Jean le Rond d’Alembert