N’ayant rien vu qui ressemblât à un étang, et craignant d’être sur la mauvaise route, il s’arrêta et regarda autour de lui. Dans l’océan de ténèbres, il put distinguer une ferme isolée et un rideau d’arbres, dominés par la sombre montagne.
Musashi, La Parfaite Lumière (2000)
Citations de Eiji Yoshikawa
Eiji Yoshikawa