Le corps, ça vit tout seul, une fois que ça a commencé. Mais la pensée, c’est moi qui la continue, qui la déroule. J’existe. Je pense que j’existe. Oh! le long serpentin, ce sentiment d’exister – et je le déroule, tout doucement.
La nausée (1938)
Citations de Jean-Paul Sartre
Jean-Paul Sartre