Je n’y pense jamais sans sentir combien sont trompeurs les jugemens fondés sur l’apparence, auxquels Rousseau Jean-Jacques

Je n’y pense jamais sans sentir combien sont trompeurs les jugemens fondés sur l’apparence, auxquels le vulgaire donne tant de poids, et combien souvent l’audace et la fierté sont du côté du coupable, la honte et l’embarras du côté de l’innocent.
Les Confessions (édition posthume 1782-1789)
Citations de Jean-Jacques Rousseau
Jean-Jacques Rousseau