Je n’ai pas besoin des sourires noyés d’Hermangarde, de cette bonne pâleur que le bonheur étend sur Barbey d’Aurevilly Jules Amédée

Je n’ai pas besoin des sourires noyés d’Hermangarde, de cette bonne pâleur que le bonheur étend sur les joues des femmes dont le coeur est plein … pour m’attester qu’elle est admirablement aimée.
Une vieille maîtresse (1851)
Citations de Jules Barbey d’Aurevilly
Jules Barbey d’Aurevilly

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