J’avais toujours rêvé le bonheur en ménage, – Comme un port où le coeur, trop longtemps agité, – Arvers Alexis-Félix

J’avais toujours rêvé le bonheur en ménage,
Comme un port où le coeur, trop longtemps agité,
Vient trouver, à la fin d’un long pèlerinage,
Un dernier jour de calme et de sérénité.
Mes heures perdues (1900), Sonnet pour mon ami R ***
Citations de Alexis-Félix Arvers
Alexis-Félix Arvers