J’ai en moi la puissante dissimulation de ma race qui est italienne, et je me bronzais, jusque dans les yeux, pour qu’il ne pût pas soupçonner ce qui fermentait sous ce front de bronze où couvait l’idée de ma vengeance.
Les Diaboliques (1874), La vengeance d’une femme
Citations de Jules Barbey d’Aurevilly
Jules Barbey d’Aurevilly