Il s’enlève en fouettant l’âpre neige des Andes, – Dans un cri rauque il monte où n’atteint pas le v Leconte de Lisle Charles Marie René

Il s’enlève en fouettant l’âpre neige des Andes, – Dans un cri rauque il monte où n’atteint pas le vent, – Et loin du globle noir, loin de l’astre vivant, – Il dort dans l’air glacé, les ailes toutes grandes.
Poèmes barbares (1862), le Sommeil du condor
Citations de Charles Marie René Leconte de Lisle
Charles Marie René Leconte de Lisle

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