Il faudrait nous comparer à un condamné à mort qui se prépare bravement au dernier supplice, qui met Sartre Jean-Paul

Il faudrait nous comparer à un condamné à mort qui se prépare bravement au dernier supplice, qui met tous ses soins à faire belle figure sur l’échafaud et qui, entre-temps, est enlevé par une épidémie de grippe espagnole.
L’Etre et le Néant (1943)
Citations de Jean-Paul Sartre
Jean-Paul Sartre

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