Grands bois, vous m’effrayez comme des cathédrales; – Vous hurlez comme l’orgue; et dans vos coeurs Baudelaire Charles

Grands bois, vous m’effrayez comme des cathédrales; – Vous hurlez comme l’orgue; et dans vos coeurs maudits, – Chambres d’éternel deuil où vibrent de vieux râles, – Répondent les échos de vos De Profondis.
Les Fleurs du Mal (1857), Obsession
Citations de Charles Baudelaire
Charles Baudelaire