François Mitterrand pensait avoir perdu l’élection de 1974 suite au débat. Nous en avions parlé tous les deux par la suite et il m’avait confié : « Votre phrase Vous n’avez pas le monopole du cœur m’a déstabilisé, elle m’a coupé le souffle. Ce soir-là, j’ai perdu 300000 électeurs. » Un vrai débat peut faire gagner ou perdre, aujourd’hui encore.
Entretien au Parisien, Propos recueillis par Matthieu Croissandeau et Henri Vernet, 26 avril 2012
Citations de Valéry Giscard d’Estaing
Valéry Giscard d’Estaing