Et si la mort n’existait pas, par quoi remplacerait-on la douleur de la séparation? Serait-ce la seu Canetti Elias

Et si la mort n’existait pas, par quoi remplacerait-on la douleur de la séparation? Serait-ce la seule vertu de la mort: satisfaire ce besoin, en nous, de la plus grande des douleurs, sans laquelle nous ne mériterions pas d’être appelés des hommes?
Le coeur secret de l’horloge
Citations de Elias Canetti
Elias Canetti

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