Dorénavant, me disais-je, ce sera la morne prose du mariage, le feuilleton prévisible des ennuis d’argent et du linge sale, au lieu des petits poèmes variés et spirituels d’une liaison amoureuse.
Eloge des femmes mûres paru chez Folio (Gallimard) en 2006 page 119
Citations de Stephen Vizinczey
Stephen Vizinczey