Chaque fois qu’il citait un nom, il le biffait violemment d’un trait de crayon qui s’abattait sur le papier comme un couperet sur une nuque.
Messieurs les ronds-de-cuir (1893)
Citations de Georges Courteline
Georges Courteline
Chaque fois qu’il citait un nom, il le biffait violemment d’un trait de crayon qui s’abattait sur le papier comme un couperet sur une nuque.
Messieurs les ronds-de-cuir (1893)
Citations de Georges Courteline
Georges Courteline