C’est effrayant comme on a de la peine quand on est en bonne santé à s’intéresser au malheur des aut Renard Jules

C’est effrayant comme on a de la peine quand on est en bonne santé à s’intéresser au malheur des autres!
Journal
Citations de Jules Renard
Jules Renard

À lire aussi  C'était quand les feux d'artifice étaient finis, quand la musique militaire s'était tue, avait termi Follain Jean