Boileau, Voltaire ou La Harpe jugeaient d’un poème qu’il était aimable ou déplaisant, qu’il flattait Paulhan Jean

Boileau, Voltaire ou La Harpe jugeaient d’un poème qu’il était aimable ou déplaisant, qu’il flattait ou froissait le goût, les règles, la nature.
Les Fleurs de Tarbes ou La terreur dans les Lettres (1936-1941)
Citations de Jean Paulhan
Jean Paulhan

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