Aucune puissance humaine, ni le roi, ni le garde des sceaux, ni le premier ministre ne peuvent empiéter sur le pouvoir d’un juge d’instruction, rien ne l’arrête, rien ne lui commande. C’est un souverain soumis uniquement à sa conscience et à la loi.
Splendeurs et Misères des courtisanes (1839-1847)
Citations de Honoré de Balzac
Honoré de Balzac