Au fond, les vrais voyages sont immobiles. Immobiles et infinis. Solitaires. Silencieux. Souvent, il Goffette Guy

Au fond, les vrais voyages sont immobiles. Immobiles et infinis. Solitaires. Silencieux. Souvent, ils commencent dans une chambre où l’on est enfermé parce qu’il pleut ou parce qu’on est malade, obligé de garder le lit.
Les derniers planteurs de fumée (2011)
Citations de Guy Goffette
Guy Goffette

À lire aussi  Maman m'aimait malgré moi. On ne peut pas en attendre autant du reste du monde. Leroy Gilles