Si je devais mourir, entouré de montagnes froides, ignoré du monde, renié par les miens, à bout de f Camus Albert

Si je devais mourir, entouré de montagnes froides, ignoré du monde, renié par les miens, à bout de forces enfin, la mer, au dernier moment, emplirait ma cellule, viendrait me soutenir au-dessus de moi-même et m’aider à mourir sans haine.
L’Eté (1954)
Citations de Albert Camus
Albert Camus

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