Oui, je sens ta présence, ô Dieu persécuteur ! – Et ta fureur divine a passé dans mon coeur. Lamartine Alphonse de

Oui, je sens ta présence, ô Dieu persécuteur !
Et ta fureur divine a passé dans mon coeur.
Nouvelles méditations (1823), Apparition de l’ombre de Samuel
Citations de Alphonse de Lamartine
Alphonse de Lamartine

À lire aussi  Ainsi les hommes filent : et si les hommes étaient faits d'étoffe indémaillable, nous ne raconterion Michon Pierre