Mes élégants amis, qui jetaient toujours un peu leurs maîtresses par les fenêtres quand ils en étaie Barbey d’Aurevilly Jules Amédée

Mes élégants amis, qui jetaient toujours un peu leurs maîtresses par les fenêtres quand ils en étaient dégoûtés.
Une vieille maîtresse (1851)
Citations de Jules Amédée Barbey d’Aurevilly
Jules Amédée Barbey d’Aurevilly

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