Adieu, je voudrais bien ne vous avoir jamais vu. Ah! je sens vivement la fausseté de ce sentiment, e Guilleragues Gabriel de Lavergne, sieur de

Adieu, je voudrais bien ne vous avoir jamais vu. Ah! je sens vivement la fausseté de ce sentiment, et je connais dans le moment que je vous écris que j’aime mieux être malheureuse en vous aimant que de ne vous avoir jamais vu.
Lettres portugaises (1669), 3
Citations de Gabriel de Lavergne, sieur de Guilleragues
Gabriel de Lavergne, sieur de Guilleragues

À lire aussi  L'amour n'est peut-être pas éternel mais nous, il nous rend éternels... Maroh Julie