A cinquante-cinq ans, j’ai conservé ma force virile, et je compte bien que cela durera encore vingt Dostoïevski Fiodor Mikhaïlovitch

A cinquante-cinq ans, j’ai conservé ma force virile, et je compte bien que cela durera encore vingt ans; or je vieillirai, je deviendrai repoussant, les femmes ne viendront plus de bon coeur, j’aurai donc besoin d’argent.
Les Frères Karamazov (1877)
Citations de Fiodor Dostoïevski
Fiodor Dostoïevski

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